Le projet lyonnais d’IRT (Institut de Recherche Technologique) sur les maladies infectieuses a été retenu dans le cadre du programme gouvernemental d’Investissements d’Avenir.
Réunir 1 000 chercheurs et autres membres du personnel sur dix ans, pour développer des projets de recherche et des plateformes technologiques, sur les nouvelles thérapies, vaccins, diagnostics en temps réel, agents pathogènes, et ce autour des maladies infectieuses.
Voilà la mission de LyonBioTech, tout juste retenu par l’Etat dans le cadre du Grand Emprunt, ou plutôt dans le cadre d’Investissements d’Avenir. Cet IRT (Institut de Recherche Technologique) de Lyon, basé dans le futur à Gerland, a été élaboré par Lyonbiopôle et l’Institut Pasteur de Paris, associant Sanofi-Aventis, l’Institut Mérieux, Danone, l’Inserm, le CEA, le CNRS, l’INRIA ainsi qu’une cinquantaine d’entreprises lyonnaises et parisiennes.
2. Combien va mettre l’Etat ?
Il est aussi soutenu par les Hospices Civils de Lyon, le Pôle de Recherche et d’Enseignement Supérieur de Lyon et les collectivités territoriales.
Sur un coût total de 400 millions d’euros sur les neuf prochaines années, la candidature lyonnaise espère récupérer 14 millions d’euros annuels de l’Etat, ce qui correspondrait à un tiers du financement total. Les industriels s’engageraient alors à hauteur de 46%, et les collectivités locales à hauteur de 20%.
Début des négociations avec le gouvernement prochainement, et réponse en septembre 2011 (source : Le Progrès).
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