Dans le secteur de l’énergie, les entreprises ont un rôle primordial à jouer. Elles sont les acteurs de premier plan dans la transition énergétique, en favorisant l’utilisation des énergies renouvelables et en réduisant progressivement la dépendance aux énergies fossiles. Si en France, la capitale, Paris, est souvent sous les feux des projecteurs, Lyon, deuxième ville du pays, n’est pas en reste. Elle abrite certaines des entreprises les plus innovantes et performantes du secteur. C’est à elles que nous allons nous intéresser aujourd’hui. Le panorama des entreprises d’énergie renouvelable à Lyon Dans la région lyonnaise, de nombreuses entreprises se démarquent par leur engagement en faveur de l’environnement et leur contribution au développement des énergies renouvelables. Que ce soit dans les domaines de l’électricité, du gaz, de la chaleur ou encore de l’énergie solaire, ces entreprises ont toutes un point commun : elles œuvrent pour une transition énergétique réussie et durable. Voyons ensemble, quelles sont les entreprises qui se distinguent particulièrement dans ce domaine. Symbio, l’innovation au service de l’énergie renouvelable Fondée en 2010, Symbio est une entreprise innovante dans le secteur des énergies renouvelables. Elle est spécialisée dans la production d’électricité à partir de l’hydrogène, une source d’énergie propre et renouvelable. Grâce à sa technologie de pointe, Symbio contribue à la transition énergétique en proposant des solutions innovantes pour le marché de l’automobile et des transports. SuniBrain, l’énergie solaire sous un nouveau jour Créée en 2013, SuniBrain est une entreprise spécialisée dans le développement de solutions de production d’électricité à partir de l’énergie solaire. Elle se distingue par son approche innovante, qui combine l’usage de panneaux solaires à des systèmes de refroidissement pour améliorer l’efficacité de la production. SuniBrain contribue ainsi à l’essor de l’énergie solaire, une source d’énergie renouvelable et respectueuse de l’environnement. GRDF, l’acteur historique de la transition énergétique GRDF (Gaz Réseau Distribution France) est une entreprise historique dans le secteur de l’énergie. Depuis sa création, elle a toujours misé sur l’innovation pour répondre aux enjeux énergétiques. Aujourd’hui, GRDF est un acteur majeur de la transition énergétique, en favorisant la production et l’utilisation du gaz vert, une source d’énergie renouvelable et locale. Veolia, la gestion énergétique durable Veolia est une entreprise française de renommée internationale dans le secteur de la gestion de l’eau, des déchets et de l’énergie. A Lyon, elle développe des projets innovants pour la production d’électricité et de chaleur à partir de la valorisation des déchets. Veolia contribue ainsi à une gestion durable de l’énergie, en accord avec les objectifs de la transition énergétique. INES, le leader de l’innovation solaire L’Institut National de l’Énergie Solaire (INES) basé à Lyon est une référence en matière d’innovation et de développement de l’énergie solaire. Avec ses projets de recherche et de développement, l’INES contribue à faire progresser les technologies solaires et à promouvoir leur utilisation pour la production d’électricité et de chaleur. Ces entreprises lyonnaises ne sont que quelques exemples parmi les acteurs de la transition énergétique dans la région. Elles prouvent que la France est en première ligne

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En quête d’un emploi dans la ville des lumières ? Lyon, deuxième ville de France en matière d’emplois et de dynamisme économique, est un terrain fertile pour ceux qui souhaitent s’aventurer dans le monde du travail. Les agences d’interim à Lyon sont nombreuses et offrent des opportunités variées dans divers secteurs comme l’industrie, le service, l’ingénierie, la santé, et bien d’autres encore. Parcourez avec nous les meilleures agences qui peuvent répondre à vos offres et besoins d’emploi. Manpower : Le leader du recrutement intérim Lorsqu’on parle de recrutement d’intérim, l’agence Manpower est souvent la première à être mentionnée. En tant que leader en France et à Lyon en particulier, Manpower met au service des entreprises et des chercheurs d’emploi son expertise de plus de 60 ans dans le domaine. Leur siège à Lyon se situe dans le 9ème arrondissement, Vaise, un district économique très actif. Le service offert par Manpower est complet. Que vous soyez une entreprise en recherche de talents ou un individu à la recherche d’une offre d’emploi, Manpower saura vous renseigner et vous guider. Leur site web est également très intuitif et vous permet de rechercher des offres d’emploi selon votre secteur d’activité, votre lieu de résidence, ou encore vos compétences spécifiques. Adecco : L’agence d’intérim multisectorielle En deuxième place, nous avons Adecco, une autre grande agence d’intérim présente à Lyon. Adecco a pour particularité de couvrir un large éventail de secteurs allant de l’industrie à la santé, en passant par l’IT et le BTP. L’agence offre un large éventail d’offres d’emploi temporaire, de CDI, de CDD, et même des contrats d’alternance. Adecco propose un service client de qualité, des conseillers toujours disponibles pour accompagner les entreprises et les candidats tout au long du processus de recrutement. Leur principal objectif est de trouver le bon match entre les compétences des candidats et les besoins des entreprises. Randstad : L’expertise des services tertiaires Fondée aux Pays-Bas, Randstad est une agence d’intérim de renom présente dans plusieurs pays, dont la France. À Lyon, Randstad s’est faite un nom grâce à son expertise dans les services tertiaires, un secteur très demandé dans cette ville. Randstad se distingue par sa capacité à offrir des solutions de recrutement sur mesure. Que ce soit pour un recrutement en intérim, en CDD ou en CDI, l’agence dispose d’un large réseau de candidats qualifiés. Elle assure également un suivi personnalisé, depuis la définition des besoins de l’entreprise jusqu’à l’intégration du nouveau recruté. Kelly Services : Le spécialiste du recrutement scientifique Kelly Services est une agence d’intérim de premier plan qui se distingue par sa spécialisation dans le recrutement pour les secteurs scientifiques et techniques. Cette agence est parfaitement adaptée pour une ville comme Lyon, qui est l’un des principaux pôles de recherche scientifique en France. Avec une compréhension approfondie des besoins spécifiques des industries de pointe, Kelly Services offre un service de recrutement d’experts hautement qualifiés. Si vous êtes un professionnel de ces secteurs à la recherche d’un emploi en intérim à Lyon, cette agence

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Au palmarès réalisé par le magazine L’Etudiant, la capitale rhônalpine partage le podium avec Rennes (3ème) et Toulouse (1ère). Pour les jeunes qui souhaitent poursuivre leurs études après le bac, Lyon reste une destination de référence. En témoigne le classement établi par le magazine L’Etudiant : à chaque édition, la Ville des Lumières y figure en très bonne place, aux côtés d’autres métropoles françaises réputées pour leur dynamisme économique et la qualité de leurs structures de formation. En attendant le suivant, qui ne devrait plus tarder, le palmarès 2021-2022 plaçait Lyon au deuxième rang des 43 meilleures villes étudiantes en France, position qu’elle partage avec Rennes (Bretagne), avec la même note (116/151). Les deux métropoles sont devancées par Toulouse (Occitanie), lauréate depuis cinq années consécutives. Plus de 150 000 étudiants à Lyon En quoi Lyon fait-il la différence par rapport à d’autres agglomérations majeures comme Strasbourg (4ème), Bordeaux (8ème) et même Paris (9ème) ? Pour réaliser son diagnostic, le magazine L’Etudiant se fonde sur seize indicateurs répartis dans cinq grandes thématiques qui font office de « critères d’évaluation » : l’attractivité du territoire et son cadre de vie, l’offre de formation proprement dite, la vie étudiante et les perspectives locales d’emploi. L’ancienne capitale des Gaules, qui a gagné 40 500 étudiants entre 2009 et 2020 (le total d’inscrits dépasse sans doute aujourd’hui la barre des 155 000), est saluée pour sa capacité à drainer les candidats de tous horizons géographiques à un diplôme, universitaire ou d’une école supérieure à Lyon. Performance saluée par les auteurs du palmarès qui octroient à la ville la meilleure note dans ce registre (10/10). Lyon obtient également le score maximal dans d’autres catégories décisives : la densité et la qualité de son offre de formation « prépas et grandes écoles », et la diversité de son menu et de ses infrastructures culturels (musées de plus de 10 000 visiteurs, festivals, bibliothèques municipales, salles de spectacle, monuments historiques, nombre de fauteuils au cinéma…). Une réserve d’un million d’emplois Autres excellents points observés par le magazine l’Etudiant (10/10) : les initiatives publiques en faveur des étudiants au niveau local (cartes culture, opérations spécifiques d’accueil, aides sociales…), l’accessibilité aux transports en commun (réduction tarifaire pour les étudiants), et l’ampleur des opportunités en matière de débouchés professionnels (Lyon comptabilise un peu plus d’un million d’emplois à l’échelle de son agglomération). Lyon se distingue également par son nombre important d’étudiants internationaux (12,4% des effectifs universitaires), son bon taux de réussite en licence (48,8%), le dynamisme des créations d’emplois sur la décennie écoulée (période 2008-2018) et son taux de chômage (6,65%) inférieur à la moyenne nationale (environ 7,3%). Le magazine L’Etudiant pointe aussi quelques bémols, notamment sur les questions climatiques, et plus particulièrement sur la qualité de l’air : l’indice ATMO, qui mesure la concentration de particules polluantes dans les grandes villes de plus de 100 000 habitants, a dépassé le niveau 7 (médiocre) entre le 1er septembre 2020 et le 30 juin 2021 à Lyon. Autre réserve émise par les auteurs du palmarès : le coût élevé des loyers moyens pour un studio et l’offre

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A l’issue du conseil de Défense qui s’est tenu ce mercredi matin à l’Elysée, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a annoncé que le Rhône était sur la liste des trois départements susceptibles de subir un tour de vis sanitaire. Jeudi, la conférence de presse du premier ministre Jean Castex, rarement annonciatrice de bonnes nouvelles, sera particulièrement attendue par les lyonnais et els habitants du Rhône. Il ne fait guère de doute que ce territoire moteur pour l’économie de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, touchée par une accélération de l’épidémie de la Covid-19 et de ses variants les plus dangereux, va s’ajouter à la liste des quinze départements déjà confinés depuis une semaine par l’exécutif. C’est en tout cas ce qu’a laissé entendre ce mercredi midi Gabriel Attal à l’issue d’un Conseil de Défense organisé à l’Elysée. Le porte-parole du gouvernement a indiqué que des « concertations étaient en cours avec les acteurs de terrain et les élus locaux du Rhône, ainsi que ceux de deux autres départements de la métropole, l’Aube et la Nièvre. Tous « pourraient basculer « sous le même régime » en vigueur depuis samedi dernier en Ile-de-France et dans les Hauts de France. Une décision dictée par l’évolution très défavorable des indices épidémiologiques : « il aller plus loin là où la dynamique virale est plus forte » a déclaré Gabriel Attal. Vers un confinement allégé ? Dans le Rhône, le taux d’incidence, un chiffre-clé qui permet de mesurer la circulation de la Covid par tranche de 100 000 habitants, frise les 400 (383 très exactement, soit + 147 en 13 jours). Or ce seuil est le critère retenu par l’Etat pour déclencher des mesures de confinement. Autre facteur scruté à la loupe, celui de la tension hospitalière et surtout la capacité d’accueil des services de réanimation : les Hospices civils de Lyon prennent actuellement en charge quelque 333 malade du coronavirus, dont 84 sont traités en réa. En début de semaine, le taux d’occupation des HCL s’élevait à 95%. Pour faire face à la menace d’une troisième vague, l’établissement avait déjà ouvert 39 lits supplémentaires, mais la situation actuelle va le conduire à en créer 15 autres, au détriment d’autres services. Si les informations livrées ce mercredi par le gouvernement se confirme jeudi, Lyon va donc basculer, dès samedi, dans un confinement allégé, comparable à celui qui s’applique depuis une semaine à Paris ou à Lille. Les commerces non considérés comme des services ou des distributeurs de produits de première nécessité, vont devoir fermer leurs portes au public (même si d’importantes dérogations sont accordées à certains secteurs, comme la coiffure, les librairies, les fleuristes, les chocolatiers et les magasins de disques). Les restrictions de déplacement sont définies dans un rayon de dix kilomètres autour du domicile (sur présentation d’un justificatif et sans limitation de durée). Et il sera interdit aux lyonnais de sortir de leur département, sauf motifs impérieux ou professionnels.

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Les investissements dans la mode peuvent être multiples pour conquérir les fashionistas lyonnaises : boutique de vêtements tendance, magasin de parfums, etc. Tout comme Paris, Lyon est une ville de mode où les fashionistas sont à l’affût permanentes du must en matière d’accessoires ou de parfums. Investir dans la mode dans cette ville représente ainsi une opportunité pour ceux qui veulent miser sur un secteur porteur. Le parfum, l’incontournable de la mode À l’heure actuelle, le parfum constitue un des éléments fondamentaux de la mode à Lyon comme dans toutes les villes françaises. Investir dans ce secteur à fort potentiel est donc logique à l’instar de nombreuses boutiques en ligne comme Tendance Parfums. Ces magasins en ligne proposent toute une gamme de parfums de grandes marques, mais à des prix compétitifs. On peut ainsi proposer des offres assez larges, de la collection pour femmes aux assortiments pour homme en passant par les sélections de fragrance pour enfants. Les fashionistas lyonnaises pourront profiter des dernières nouveautés en matière de parfum grâce à ces boutiques spécialisées. Désormais, les Lyonnaises peuvent s’offrir les parfums Dior ou encore les eaux de toilettes de haut standing à des tarifs attrayants. Investir également dans une boutique de fragrance au sein de la ville de Lyon s’avère être rentable pour de nombreux investisseurs ayant senti le filon du parfum. Les vêtements, toujours à la mode Que serait la mode sans les pantalons, les vestes et les petits hauts qui font frémir plus d’une Lyonnaise ! Investir dans un magasin de vêtements à Lyon permet de toucher un maximum d’amoureuses de la mode. Il s’agit de diversifier les offres pour conquérir une population assez hétérogène. Varier les offres en matière de bas : pantalons, slim jean tendance, mini short aux motifs personnalisés, combi short et autres pantalons à la mode. De même, il s’agit d’investir dans les hauts chics et classes : tailleurs, tee-shirt flashy et débardeur minimaliste. Les fashionistas lyonnaises sont à la recherche de style contemporain où se mêlent élégance et sexy attitude. Les défilés de mode Lyon n’est pas vraiment connu pour ses défilés de mode. Investir dans les défilés pour un jeune créateur semble donc un moyen de faire adhérer la jeunesse lyonnaise à ce qui se fait de mieux dans la mode. Entre fashion week et défilé pour collection saisonnière, les possibilités sont multiples et le marché est porteur d’après les stylistes qui ont déjà eu à organiser des défilés à Lyon. Les accessoires de mode Les accessoires deviennent incontournables dans le domaine de la mode. Entre collier et chaussure, le choix des accessoires est primordial pour les fashionistas. À chaque vêtement est affilié un accessoire : bracelet original, ceinture chic et élégante. Ouvrir une boutique d’accessoires de mode peut par ailleurs être très bénéfique, car la jeunesse lyonnaise reste fidèle à une identité de mode bien affirmée. Les possibilités d’investissement sont donc nombreuses à Lyon, il faut flairer le bon coup et se démarquer de la concurrence.

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Cet évènement phare dédié aux secteurs de la communication visuelle et de l’industrie graphique, a drainé plus de 13 000 visiteurs l’hiver dernier. Les inscriptions sont déjà ouvertes pour la prochaine édition. Spécialiste lyonnais de la signalétique, fabricant d’enseignes lumineuses à Roanne ou imprimeur à Villefranche-sur-Saône, l’ensemble des acteurs régionaux liés au secteur de l’image, du design et de l’audiovisuel publicitaires disposent chaque année d’une vitrine sur-mesure à Eurexpo où se tient depuis 2012 un évènement professionnel consacré à la communication par l’objet. Organisé parallèlement au CTCO, qui se positionne plus spécifiquement sur les enjeux du textile promotionnel, le salon C!Print élargit son offre au papier connecté, l’impression grand format et 3D, la personnalisation des éléments graphiques et l’aménagement d’espaces intérieurs ou éphémères par le recours notamment à la PLV (Publicité sur le lieu de vente). Le franc succès remporté l’hiver dernier par sa sixième édition donne à lui seul la mesure économique de ces techniques de communication, de leur potentiel comme leur évolutivité, leur dimension marketing et la place stratégique qu’elles occupent désormais dans le quotidien des enseignes soucieuses de se démarquer sur leurs marchés respectifs. Un record de visiteurs Les organisateurs du salon ont recensé un flux total de 13 700 visiteurs répartis sur trois jours (avec un pic de fréquentation lors de la deuxième journée), un chiffre en hausse de +4,17% par rapport à l’année précédente. Ce public, local à 40% (Auvergne-Rhône-Alpes) comptait également des parisiens (10,9%) et quelques étrangers (11%), à majorité belges et suisses. Près de la moitié des personnes présentes sur le salon (46,88%) y sont venus pour investir dans une solution d’impression : 12% d’entre eux cherchaient à acquérir un modèle numérique grand format, 11% un appareil configuré pour les petits formats. Parmi les 260 exposants inscrits, plus des deux-tiers étaient des distributeurs de matériels/médias ou des fabricants de solutions d’impression. Les entreprises qui souhaitent tenir un stand sur le plateau du prochain salon c !Print ont la possibilité de déposer leurs candidatures auprès des organisateurs : la septième édition est programmée les 5,6 et 7 février 2019 à Eurexpo Lyon (halls 1 et 2). Thibault Raudet Directeur commercial +33 (0)6 28 96 23 55 – thibault.raudet@656editions.net Emilie Eggenschwiller Attachée commerciale +33 (0)6 66 88 14 87 – emilie@656editions.net

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Selon la plateforme de recherche d’emplois Joblift, le nombre postes proposés dans le secteur a plus que doublé depuis 2016. Des profils encore trop rare pour répondre à des besoins de plus en plus nombreux dans les entreprises : ce déséquilibre entre offre et demande d’emplois, assez caractéristique des activités innovantes à fort potentiel de croissance, frappe le marché de l’impression 3D, un terme technique qui désigne un nouveau système de fabrication fondé sur l’ajout, l’empilement ou l’agglomération de matières solides à partir d’un modèle numérique conçu par ordinateur. Quels profils ? A en croire le résultat du comptage effectué par la plateforme Joblift, il faut 43 jours en moyenne aux professionnels du secteur pour trouver le bon candidat et l’embaucher. L’essentiel de ces postes est concentré dans les grandes villes : tel imprimeur à Lyon recherche, par exemple, un ingénieur formé aux spécificités de la technologie tridimensionnelle, tel autre, à Paris ou à Rennes, est en quête d’un responsable de maintenance dans le domaine de la fabrication additive. A l’échelle nationale, Joblift a recensé un total de 5 762 propositions d’emplois sur une longue période comprise entre 2016 et début 2018, un volume qui traduit une hausse du nombre d’offres d’environ 12% en moyenne chaque mois. L’industrie en première ligne Pour l’étude, ces chiffres révèlent une très forte accélération de ce marché en France, poussé par une croissance « 25 fois plus rapide» que tous les autres. Près du tiers des demandes (30%) provient du monde industriel où l’évolution des procédés de production exige désormais l’intégration de personnels compétents dans l’impression 3D. Ces nouveaux besoins y auraient fait progresser les possibilités de recrutement de +15%. Moins toutefois que dans les télécommunications (+37%) où le recours à cette technologie ouvre aussid’importantes perspectives de développement. La chimie regroupe 3% des offres, et la santé seulement 2%, un bilan encore modeste contrebalancé néanmoins par l’ampleur de la progression observée depuis deux ans (+35% de propositions d’embauches dans le domaine). Joblift ajoute que « le commerce des imprimantes 3D en BtoC se porte également bien avec 21% des offres destinées aux services aux particuliers pour une augmentation de 13% en deux ans ».

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